Il y a bien longtemps,
Dans un autre temps,
J'étais encore à l'école,
Une très vieille école.

Ils donnaient des prix,
En fin d'année réussie,
Lors d'un spectacle préparé,
Par les enfants scolarisés,
C'est une belle chanson,
Que nous entonnions,
Une devenue d'actualité,
Par cette nouvelle attristée.

Le départ vers d'autres cieux,
D'un si grand monsieur,
Celui même, qui par ses paroles,
M'a donné goût à écrire, parole.

Juste un petit poème pour toi le poète,
Toi qui, sans savoir, fit de moi poète.
Va et reposes-toi au firmament,
On t'y rejoindra dans un moment.

Quand il est mort ce poète,
Tristes sont tous les poètes.
 
Gégé le penseur (le 19/12/2001)
 
En souvenir et pour le souvenir
d'un poète à ''100 000 volts''...
celui qui me donna, sans le savoir,
goût à l'écriture et aux poèmes.
à Gilbert Bécaut